La forêt d'Armainvilliers est située sur le rebord nord-ouest du plateau de la Brie. C'est une forêt humide au relief très peu marqué, avec des points hauts à 115 mètres et des points bas à 105 mètres. De manière générale l'altitude s'abaisse du nord vers le sud.
Elle constitue la partie occidentale de l'ancien massif couvrant la Brie occidentale comprenant les forêts de Notre-Dame, Ferrières, Crécy, Malvoisine, Coubert, etc. Elle se situe entre la forêt de Notre-Dame à l'ouest, la forêt de Ferrières au nord et la forêt de Crécy à l'est. Les forêts d'Armainvilliers et de Ferrières constituent le même massif forestier et partagent une longue limite commune d'ouest en est (route Neuve). Elles forment le plus vaste espace boisé de l'est parisien, partie de la ceinture verte de l'Île-de-France.
Au xxe siècle, la Monthéty était devenue une simple grande fête foraine mais fort réputée ; dans les années 1930, elle fut déplacée de l’autre côté de la RN 4 puis disparut une dizaine d'années après la Seconde Guerre mondiale.
« La Monthéty » subsiste dans la mémoire populaire, dans les écrits des historiens locaux. Le lieu, laissé à l'abandon, a été autrefois défiguré par une décharge, l'emplacement de l'ancien champ de foire est encore visible ainsi que l'ancienne route menant à Lésigny, bordée d'arbres centenaires.
En 1674, Ozoir-la-Ferrière compte parmi les terres et seigneuries réunies en un duché de Saint-Cloud.
La ville d’Ozoir-la-Ferrière, comme une bonne partie des communes situées à proximité des lignes de chemin de fer venant de Paris, a vu sa population considérablement augmenter depuis la fin de la Grande Guerre. Elle passe de 717 habitants en 1921 à 1 544 en 1936. Mais cette population s’installe essentiellement dans le lotissement de l’Archevêché, à proximité de la gare et donc éloigné du bourg rural d’origine.